Miscellanea,
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Werkes über die He r k u n f t und die Ent
wicklung des Monotheismus,
dessen erster Band schon erschienen ist. Er
legt das Hauptgewicht auf den Nachweis
einer eigenartigen Erscheinung der Religions
geschichte, daß nämlich die höchsten Wesen
so vieler Völker zugleich Himmels- odei
Witterungsgötter sind oder waren. Er findet
darin einen Hinweis darauf, daß diese Wesen
aus einer Personifikation des materiellen
Himmels entstanden sein könnten. Wenn er
auch hierin mit den Resultaten der kultur
historischen Ethnologie nicht übereinstimmt,
so steht er doch deren Methode im ganzen
sympathisch gegenüber. „Ich kann nur mit
Sympathie das Programm der Schule be
trachten, die sich kulturhistorische nennt.
Indem diese die Trennung der Völker in zwei
Gruppen: einerseits historische, anderseits
angeblich geschichtslose, nicht anerkennt, da
sie die Ethnologie als Geschichte der Zivili
sation hinstellt, und infolgedessen die reli
giöse Ethnologie zur Geschichte der Religio
nen rechnet, trägt sie dazu bei, jene Einheit
zu verwirklichen, die das Ideal unserer eige
nen Studien bildet.“
K. Krohn gab eine reiche S a m m 1 u n g
von finnischen Zauber Sprüchen
und Ursprungserzählungen her
aus. Sie unterscheiden sich durch ihre in
Versmaß gebrachte Form von denen des übri
gen Europa. Der Inhalt hingegen beweist aus
ländischen Einfluß. „Die Zauberei mit festen
Formeln ist offenbar vom Orient mit dem
Kulturstrom durch Süd- und Mitteleuropa
nach dem Norden gewandert.“ Es ist sogar
offensichtlich, „daß bei den in primitiven
Lebensverhältnissen zurückgebliebenen Stäm
men keine Zauberformeln entstanden sind.
Dagegen finden sie sich bei allen zu halber
oder ganzer Kulturhöhe emporgestiegenen
finnisch-ugrischen Stämmen.“ (F. F. Com
munications, Nr. 52, 1924.)
In mehreren finnisch-ugrischen Sprachen
wird ein ¿-Suffix und ein /-Suffix zur Bil
dung von Diminutiven verwendet, ebenso wie
in einzelnen indoeuropäischen Sprachen. „Man
wird wohl kaum an ein Spiel des Zufalles
glauben können.“ Ob hier Urverwandtschaft
oder Entlehnung vorliegt, läßt sich noch
nicht entscheiden. (E. Öh.makx in Finnisch-
ugrische Forschungen, XVI [1923], 87—89.)
Uno Holmberc; stellt sehr interessante
Vorstellungen über doppelte Früchte
ouvrage en trois volumes sur L'o r i g i n e
et l’é v o 1 u t i o n du monothéisme.
Le premier volume en a déjà paru. L’auteur
cherche tout particulièrement à démontrer un
fait caractéristique de l’histoire des religions,
à savoir que les Etres suprêmes de tant de
peuples sont ou étaient aussi des dieux cé
lestes ou des dieux météorologiques. C’est pour
lui un indice que ces êtres pourraient bien
provenir d’une personnification du ciel. En
ceci, l’auteur se sépare des conclusions de
l’ethnologie historico-culturelle; toutefois, la
méthode de cette école n’est pas pour lui
déplaire. «Je ne puis, dit-il, qu’éprouver de la
sympathie pour le programme de l’école qui se
nomme historico-culturelle. Elle ne reconnaît
pas la division des peuples en deux groupes:
peuples historiques d’une part, peuples pré
tendu sans histoire de l’autre, puisqu’elle
considère l’ethnologie comme l’histoire de la
civilisation et par conséquent l’ethnologie
religieuse comme faisant partie de l’histoire
des religions. Mais par cela même, elle con
tribue à réaliser cette unité qui fait l’idéal
de nos propres études.»
K. Krohn a publié une riche collec
tion de formules magiques et de
contes sur les origines parmi
les Finlandais. Ces formules et contes
se distinguent de ceux des autres parties de
l’Europe par leur forme qui est métrique. Le
fond par contre dénote des influences du
dehors. «Il n’y a pas de doute que la magie
à formules déterminées est venue de l’Orient
avec le flot de la civilisation et a passé par
le Sud et le Centre de l’Europe pour se diri
ger vers le Nord. Il est même notoire que
chez les peuplades restées dans leurs condi
tions primitives les formules magiques n’ont
pas pris naissance; elles se trouvent au con
traire, chez toutes les peuplades finno-ou-
griennes à moitié ou entièrement civilisées.»
(F. F. Communications, no. 52, 1924.)
Plusieurs idiomes finno-ougriens emploient
un suffixe k et un suffixe / pour la forma
tion de diminutifs, tout comme quelques-unes
des langues indo-européennes. Il est difficile
d’y voir un jeu du hasard. S’agit-il de parenté
primitive ou d’emprunt? On ne saurait en
core se prononcer. (E. Ôhmann, dans les
Finnisch-ugrische Forschungen, XVI [1923).
87—89.)
Uno H o lmb E k o collationne des opinions
très intéressantes au sujet des fruits